longue et épuisable journée de récoltes acharnées, les deux paysans s'arrêtent, jetèrent leur haches et se mirent à prier sous le retentissement de la cloche d'une église qui ne se trouvait pas loin des champs où ils travaillaient. Cette prière semblait longue, mais les paysans y mettaient tout leur coeur. Ils regardaient leurs mains et la récitaient à voix haute. Ils avaient des visages qui semblaient tristes et mourants de désespoir. Quelques semaines plus tard, les paysans étaient arriver à bout, ils avaient enfin terminé leurs récoltes, et allèrent joyeusement et immédiatement rapporter ce grand panier garni au médecin. Le médecin leur avait promis qu'ils les aideraient et il tenus parole. Ils rentrèrent chez eux, à la fois fatigués et heureux et attendirent que le père soit guéri. Après de longues semaines de patiences interminables, le père était enfin de retour chez eux. Quel soulagement pour la mère et le fils ! Ils étaient tellement contents de se retrouver. Les deux paysans qui avaient travaillés si dur se dirent que nul n'est plus beau au monde que la présence de ceux qu'ils aimaient. Cependant ils avaient de la rancoeur auprès du médecin.
Et bien, la petite famille continua sa vie, continuèrent leur récoltes avec beaucoup de joie et profitèrent du temps qu'ils avaient à passer ensemble.
Inspiré de ce tableau nommé l'Angélus de Jean-François Millet, peint en 1858
Dyhia Mezahem, 4eC
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