mardi 22 novembre 2011

L'angélus

Un beau jour, un enfant naquit de l'union de deux paysans qui étaient très pauvres. Il ne vivaient que des récoltes qu'ils faisaient aux champs chaque jour. Le temps passait très vite et l'enfant grandit avec beaucoup d'affection et d'amour avec ses parents, malgré leur pauvreté et leurs conditions de vie accablantes. Un jour, son père tomba inexplicablement malade, et n'ayant pas d'argent pour le faire soigner, la mère et son fils allèrent en ville demander de l'aide. Un médecin renommé accepta de leur venir en main forte. Mais ce dernier était si égocentrique qu'il leur demanda de leur donner en échange d'un antibiotique, un colossal panier garni de légumes. Dans l'intérêt de leur bien aimé, ils se dirent qu'il était nécessaire de faire ce que le médecin exigeait. Ils travaillèrent dur chaque jour pour assurer la santé de ce dernier. Au milieu d'une
longue et épuisable journée de récoltes acharnées, les deux paysans s'arrêtent, jetèrent leur haches et se mirent à prier sous le retentissement de la cloche d'une église qui ne se trouvait pas loin des champs où ils travaillaient. Cette prière semblait longue, mais les paysans y mettaient tout leur coeur. Ils regardaient leurs mains et la récitaient à voix haute. Ils avaient des visages qui semblaient tristes et mourants de désespoir. Quelques semaines plus tard, les paysans étaient arriver à bout, ils avaient enfin terminé leurs récoltes, et allèrent joyeusement et immédiatement rapporter ce grand panier garni au médecin. Le médecin leur avait promis qu'ils les aideraient et il tenus parole. Ils rentrèrent chez eux, à la fois fatigués et heureux et attendirent que le père soit guéri. Après de longues semaines de patiences interminables, le père était enfin de retour chez eux. Quel soulagement pour la mère et le fils ! Ils étaient tellement contents de se retrouver. Les deux paysans qui avaient travaillés si dur se dirent que nul n'est plus beau au monde que la présence de ceux qu'ils aimaient. Cependant ils avaient de la rancoeur auprès du médecin.
Et bien, la petite famille continua sa vie, continuèrent leur récoltes avec beaucoup de joie et profitèrent du temps qu'ils avaient à passer ensemble.


Inspiré de ce tableau nommé l'Angélus de Jean-François Millet, peint en 1858


Dyhia Mezahem, 4eC

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