samedi 26 novembre 2011

Adela la paysanne.


Un beau matin matin d'été, Adela réveilla comme à son habitude Adolphe, son père et Adrian, son oncle. C'étaient des paysans espagnols qui cultivaient une terre picarde. Elle avait a perdu sa mère quand elle avait six ans, aujourd'hui elle en a seize. Elle était brave et aidait énormément ses proches, son visage était fin et bronzé, ses cheveux ondulés et châtains, ses yeux était bridés et globuleux et ses lèvres étaient fines. Du matin jusqu'au soir, elle récoltait le foin posé sur le sol et les deux hommes faisaient de même. Quelques heures plus tard, ils s'arrêtèrent pour prendre un bout de fromage accompagné de pain et de lait. Peu après, ils recommencèrent le travail et cela était le rythme de toute la journée. Le soir même quand le travail fut terminé, Adela sortit faire un tour près de la rivière pour réfléchir, se poser des questions, trouver les réponses et penser à sa mère.

Mais tout ne se passa comme elle avait prévu, un homme était assis à sa place habituelle. Elle s'approcha, s'assit à coté de lui et il retourna sa tête sans aucun mot. Elle le regarda longuement pour ensuite lui demander comment il se prénommer, son prénom était Jean. Peu après, ils discutèrent sans voir le temps passer, mais ce moment restera mémorable à Adela qui avait les yeux pétillants.

L'autre soir, ils se sont revus et tous les autres soirs étaient pareils. Adela devait partir sur le bord de la rivière pour parler à la nature de tous ses problèmes, se retrouvait à rigoler avec Jean.

Mais le quatrième soir, Jean ne vint pas. Adela revint chez elle et pleura jusqu'au matin.

Le soir même Jean ne vint pas encore une fois et à ce moment là Adela pensa qu'elle avait perdu le deuxième être qui comptait beaucoup pour elle.

Depuis, Adela ne tomba plus amoureuse et ne sortit plus la nuit.

Abou El Faraj Rime

Lucie et l'atelier du peintre

 Gustave Courbet, l'Atelier du peintre

Cette histoire se passe en 1867. Lucie comme à son habitude parcourait les rues en quête d'argent ou de nourriture. Elle s'asseyait devant l'épicerie du Pedro et tendait sa main pour quelques francs. Cette jeune femme était malgré tout très ravissante, elle avait des lèvres ourlées et gourmandes, le menton en galoche, les oreilles pincées, le nez busqué, les yeux bridés et étincelants, le front lisse et bombé et de cheveux châtains et lisses.

Un beau jour, un homme l'aperçut et la beauté de cette femme a charmé celui-ci qui était vêtu d'un vêtement en soie, accompagné de canons sur les manches. C'était un peintre nommé Courbevoie, il était connu pour avoir dessiné plusieurs portraits de jeunes femmes élégantes et de magnifiques paysages. Il s'assit à coté de Lucie, qui était naïve et ne comprenait pas grand chose.

Le peintre voulait que Lucie vienne dans son atelier pour qu'elle puisse poser pour un de ses prochains tableaux, elle accepta de suite. Elle devra jouer le rôle d'une jeune femme perdue et désespérée au milieu d'une forêt dense. De plus, la somme qu'elle allait recevoir était très alléchante: 250 francs !

Ils ont parcouru la rue Montgallet et une heure plus tard, ils arrivèrent à l'atelier du peintre. A la première vue, Lucie remarqua qu'il y avait deux parties différentes. La première partie était constituer de pauvres gens et la deuxième partie était constituer de gens riches, de grands philosophe ...Le peintre arriva et ordonna à Lucie de se déshabiller pour qu'il puisse commençait son chef-d'oeuvre, elle respecta sa décision sans rouspéter. 

Quelques minutes après, elle était prête, le peintre commença à peindre et cela dura une semaine. Quand le peintre avait terminé sa peinture, Lucie était assez riche pour s'acheter une petite demeure grâce au 1750 francs qu'elle a obtenu pendant ses sept jours de pose.

Depuis ce jour, elle ne posa que pour de grands peintres.

Abou El Faraj Rime. 

L'angélus.


Le crépuscule se levait. Des couleurs, du rosé jusqu'au bleu, parsemaient le ciel.

Dans la cuisine, le petit déjeuner était dressé, bouillie d'épis de blé, et croûton de pain.

De délicates odeurs s'élevaient de la vielle chaumière. Réveillés, les vagabonds et les plus pauvres accouraient vers cette bicoque. La vieille paysanne servit à chacun une portion de ce qu'elle possédait. En ce moment, les récoltes étaient maigres et elle ne pouvait payer son jeune commis. Pourtant il ne lui en voulait pas, il l'aidait gratuitement. A son tour il se leva, il était en retard pour l'aumône du matin. 

Quand les malheureux retournèrent à leur besogne, la vieille femme poussa la porte de la masure, ses yeux, plein de gentillesse scrutaient son jeune ami, un sourire se dessina rapidement sur ses lèvre pour s’effacer un instant après. Par la fenêtre, le ciel avait pris une teinte orangeâtre, le commis fit un geste sec de la main, la vielle dame s'approcha et hocha la tête, ils sortirent se promener. Ils étaient heureux. Le commis, jeune orphelin avait trouvé une mère. Le soir, près de l'âtre, les flammes semblaient crépiter au rythme de leur discussion, les yeux vert foncé, de la couleur des forêts, de la vielle femme semblaient s'être mués en deux yeux flamboyants. Quand le jeune orphelin s'en alla, seule, la bonne femme contempla les étoiles apparaître comme une traînée de poudre dans le ciel bleu, et s'endormit.

Dès l'aube, la vielle était aux champs avec son commis, ils labouraient, semaient, lorsqu'un son perçant, strident, retentit à travers les terres, la vielle émue, délaissa un instant ses outils et commença a dire l'angélus, son employé fit de même, arrêta sa besogne pour prier, lui aussi.

Une lumière éblouissante tapait à ce moment là, leurs visages rayonnaient, leurs regards pétillants se croisèrent. Ils sourirent.

Imène.

A quoi rêvent les pauvres filles (suite).

 

Une semaine plus tard, elle s'acheta une paire de cisailles. Elle coupa un bout de tissu d'un des habits que son grand-père lui avait offert pour ses dix-sept ans. Le soir même, elle est vêtue d'une manière provocante, qui ne laissait pas paraître la jeune fille qu'elle était. Elle se hâta de descendre les escaliers et de sortir. Elle traversa le boulevard Saint-Michel et se rendit dans un bar très fréquenté. Elle fut épouvantée par le regard que les hommes posaient sur elle. Un homme s'approcha et lui offrit un verre. Quelques temps après, ils furent saouls et partirent à l'hôtel du coin. Le lendemain matin, elle ne sentit embarrassée, mais l'argent était bien là.

Quelques heures plus tard, elle avait son bracelet en diamants.

Rime et Dyhia.

vendredi 25 novembre 2011

Le panier d'osier.


C'était une nuit d'hiver, une nuit calme, où tombaient des flocons de neige blancs, le silence, divin, régnait. Dans cette nuit parfaite, on tambourina à la porte, d'un air las. La jeune fille s'empressa d'ouvrir la porte, écarquilla les yeux, là, un panier tressé en osier, à l'intèrieure, un enfant. Elle prit délicatement le panier, retira l'édredon dans lequel il était enveloppé, un tissu blanc, brodé d'une hirondelle d'un bleu de Prusse, elle effleura le textile, son souffle était court. D'où pouvait bien provenir cet enfant ? Elle n'avait jamais touché de sa vie une matière aussi douce et riche que celle-ci, elle entra dans son logis, sur ses gardes.

Elle se rendit dans la cuisine ou sa mère prenait le souper. La jeune fille déposa le panier sur la table sans dire un mot. La mère continuait de tremper des morceaux de pain dans la soupe, et quelques instants plus tard, leva ses petits yeux noisettes pour inspecter le contenu du panier. Dans un silence de morts elle empoigna le panier et se dirigea dans ce qui lui servait de buanderie. Elle avait un visage impassible et ne cogita pas très longtemps : elle savait ce qu'elle allait faire de lui. La fille questionna sa mère, et approuva sa décision. Elles allaient garder le nourrisson abandonné. Elles ne se posaient pas de question sur la classe sociale de cette enfant, elles étaient bien trop occupées à le regarder d'un air attendri.

Imène

Les Bulles de savon

 
Un jeune garçon nommé Jean s'ennuyait lors de ses vacances scolaires. Il était âgé d'une dizaine d'années et passait son temps à faire des expériences. Il était passionné de science. A l'époque où il vécut, la science était considérée comme une matière où tout le monde pouvait réussir, alors il tenta. Il aimait aller à l'école et il était attristé à l'idée de savoir qu'il passera deux mois sans aller en cours, surtout de sciences. Pour revenir avec un excellent savoir, il se dit qu'il qu'il ferait des expériences. Il prit un bol, le remplit d'eau et pris un savon dont il se savonna les mains. Il mit ses mains dans le bol et voilà que l'eau était devenue savonneuse. « Je vais prendre une paille », se dit-il et aspira l'eau sans l'avaler. Puis il retira la paille du bol et souffla. Tout à coup il vit une bulle sortir de la paille, il était émerveillé. Il était si heureux de sa découverte qu'il décida de recommencer plusieurs fois. Après avoir épuisé toute l'eau, ses joues étaient toutes rouges et gonflées. Il était tellement fatigué qu'il alla se reposer sur son lit, et il se leva soudain avec l'idée d'aller montrer sa découverte à ses camarades de classe. Il refit la préparation de l'eau savonneuse, et descendit les escaliers à toute allure. Il arriva en bas de son immeuble, sur la rue principale et traversa la rue. A plusieurs reprises, le bol allait tomber mais le garçon le tenait comme s'il s'agissait d'une statue en or. Il arriva enfin devant la maison de son ami, et il sonna à sa porte. La porte s'ouvrit, et il vit une tonne de monde. Son ami avait organisé une fête. La mère de ce dernier était à la porte et appela son fils. Il le fit entrer chez lui au milieu de tout ces personnes qui le regardaient avec des grands yeux. Il installa son matériel sur la petite table, et présenta son expérience. Les grandes personnes se dirent qu'il voulait juste les impressionner. Il commença et enchaina les démonstrations. Jusqu'au moment où un grand homme, vêtu d'un costume bleu marine, hurla « Permettez mon jeune homme de me présenter. Je suis M. Malrin et je suis directeur d'un centre de science à Paris. J'ai admiré votre découverte et je vous invite à venir me rejoindre dans mon centre, si bien sur tu le souhaites. ». Le jeune garçon n'en croyait pas ses oreilles et accepta après avoir demander à ses parents leurs avis. Quelques semaines plus tard, une valise pleine était posée sur le seuil de la porte et on entendait la mère de Jean pleurer de joie. Elle se dit que c'était le seul moyen pour que son enfant puisque vivre sa passion. Il le fit quelques baisers et partit comme un homme sur de lui et il n’arrêta pas de se dire que tout le monde l'admirera...
- Jean, jean réveille toi ! Tu ne vas quand même pas arriver en retard le dernier jour de cours !, lui dit sa mère
- Mmmmh, j'ai encore rêver ! dit Jean.
Bien sur Jean rêvait de ses vacances pendant la nuit. Nous pouvons tous dire qu'il a fait un très grand rêve !


Dyhia Mezahem.

A quoi rêvent les pauvres filles (suite du texte de Zola).



«  Demain elle en aura … »

Comme elle se prostitua abondamment elle empocha énormément de sous. Grâce à cela elle put aller dans les grandes villes où vivaient des hommes riches . Elle attira amplement de célèbres gens comme Mr de Metternich. Tandis qu’elle acquit aux alentours de 10 000 sous par jour elle put aller au bal des Tuileries. Au bal elle se fit connaître en moins de quelques heures. Les dames se méfièrent d’elle et gardèrent un œil sur leurs époux.

Soudain, son regard croisa celui du prince de Metternich. Elle le trouvait charmant avec ses yeux verts, des cheveux bruns bouclés, son visage était d'un teint bronzé avec quelques tâches de rousseurs. Il portait une cape verte comme sa couleur des yeux, une chemise blanche à manches longues avec des bretelles, un pantalon bouffant de couleur vert kaki. Il la regarda d'un air souriant mais frustré. On dirait qu'il fut charmé par sa beauté. Il alla la voir mais sa mère, Madame de Metternich arriva pour aller savourer le goûter. Le prince était contrarié de ne pas aller la voir.                         

Il patienta tellement qu'il en devint fou amoureux. C’est comme cela qu’elle eut ses diamants et qu’elle devenue la femme la plus riche et connue.

Silviya et Midouata.

jeudi 24 novembre 2011

La Toussaint .

Cela c'était passé, au XIXe siècles, alors que tout le monde croyait qu'un malheureux démuni ne servait à rien et n'avait pas à exister. Mais deux personnes allèrent le démentir.
Tout avait commencé par une matinée de lundi où l'on entendait des cris de marmot pleurant. On voyait deux éclatantes et délicieuses figures l'une plus somptueuse que l'autre.
L'une posée sur l'autre. Elles étaient illuminées par la clarté du soleil, ses bras longs et épuisés par l'activité accomplie. En effet c'était leurs mère assommée par le travail fait, qui n'avait plus de voix. Peu après dans la nuit, leur mère se réveilla flageolante et ensanglantée toussant comme si l'on avait étranglée; les infirmières se réveillèrent angoissées et entrèrent dans la chambre de la mère malade. Celle-ci mourante était en train de s'éteindre sous les yeux des deux nurses et de son conjoint. Dès l'aube le conjoint rendit visite a sa bien-aimée croyant qu'elle eu se reprendre. Il entra dans la chambre et vit un corps pâle aux yeux ouverts remplis d'inquiétude et de faiblesse; aux yeux asséchés par les larmes et au regard fuyant, aux jambes saignantes et aux pied sanglants. A sa toilette sanglante l'homme, vit le corps de sa bien-aimée sans vie, sans âme inanimé.
peu de jour on organisa un enterrement triste le père apeuré fit une dépression et perdit tout son argent. Mais il restait une seule chose qui valait de l'or : la couverture dorée plaqué d'or et argentée de leur pauvre mère morte. Ils hésitèrent longtemps. Des mois passèrent et le domicile se dégrada de plus en plus les filles grandissaient a une vitesse étonnante. Le père angoissé réunit ses deux filles dans le séjour et leur dit qu'il allait vendre cette fameuse couverture ; arrivé chez le marchand le veuf demanda quel était son prix. La couverture était estimée a mille francs, ce qui était beaucoup le veuf accepta l'offre et rentra dans sa demeure. Le jour de la Toussaint on sonna a la porte et ce fut Amélie et Ariane qui ouvrit la porte aussi l'une plus élégantes que l'autre et ravissantes dans des robes brodées d'or et de magnifiques visages aux cheveux longs et d'un blond clair et aux yeux verts elle avaient bien grandi depuis la mort de leur mère et avait pris conscience de la vérité. Derrière la porte elles furent surprises et virent ce visage familier fantôme souriant et qui avait disparu avec le souffle. C'était leur mère qui leur rendait visite et depuis chaque année elle revient.
                                               
                                                              Par AMINATA

Les glaneuses

Ses femmes se levèrent de bonne heure pour besogner leur champ. C’était de pauvres campagnardes qui travaillaient pendant que les riches préparaient la fête de Pâques. Il avait trois femmes qui œuvraient.  Il y en avait une qui était vertueuse  avec des yeux azurés : elle avait 15 ans. On ne l'aimait pas trop car elle vivait avec une famille impécunieux. Elle avait une soeur jumelle. Son père était mort a la guerre. Pour nourrir ses enfants sa mère se gourgandinait pour de l'argent. On ne les aimait pas a cause de leur mère. Quand elles finirent de travailler elles rentrèrent chez eux attendant Pâques. Le soir tous les paysans, bourgeois se réunirent pour fêter Pâques. Sa mère restait à la maison car quand elle venait aux fêtes, elles se terminaient mal. Donc les deux soeurs jumelles partirent sans leurs mères. L'une de soeur s'appelait Caroline et l'autre Therese. Caroline a rencontré un jeune homme plaisant . C’était un fils d'un noble. La fête commença ils dansèrent , chantèrent et burent de la bière. Quand la fête fut finie Caroline et son copain qui s'appelait Marc s'enlacèrent. Quand elles rentraient chez elles, Caroline raconta a sa mère comment Pâques s’était passé. Therese était tellement jalouse qu 'elle décida de manigancer un plan.Un jour Caroline donnat un rendez-vous à Marc mais Therese dupa sa soeur en disant que c’était son tour d'aller travailler. Cet alors que Therese prit la place de Caroline. Marc ne remarqua pas la différence. Caroline alla travailler avec sa mère. Quand elle revint avec sa mère elle surpris Therese avec son amant. Caroline avec une grande aigreur gifla sa soeur de l'avoir dupée. Marc comprenait son erreur. Cet alors qu'un combat commença. Therese se jeta sur Caroline avec toute sa haine. Mais Caroline ne s’avouait pas vaincue.  Les deux soeurs étaient épuisées. Marc ne pouvait rien faire car il avait tellement honte de son erreur. La mère avait marre de cette vie dont elle ne voulait pas. Elle décida de prendre un couteau . Elle blessa ses filles devant les yeux du pauvre Marc en pleurs. Elle s'approcha de lui et le supprima . Elle décida de reprendre sa vie celle d'une fille perdue.

ANTONIO



A quoi rêvent les pauvres filles (suite)


Demain, elle en aura.

Elle songea durant plus de deux heures, le reflet des pierres précieuses, leurs beautés, tout dans leur aspect faisait qu'elle les adorait, le saphir, le rubis, l'émeraude, le diamant, l'améthyste, le jade, tous se mêlaient dans sa tête. Dans ce méli-mélo elle imagina un stratagème digne des plus grands meurtriers.

Aujourd'hui, le ciel était d'un bleu givré et doux, elle était nostalgique, elle se remémorait les matins d'hiver qu'elle passait avec sa grand mère. Elle hésita un instant, elle en avait conscience son meurtre était abominable, mais elle était décidée. Bien sûr un crime n'est pas une mince à faire, elle le savait bien, c'est pour cette raison qu'elle avait tout peaufiné, elle répétait souvent devant la glace, elle avait tout préparé des jours à l'avance, où elle cacherait l'arme du crime, les preuves. Ce soir là, le coucher de soleil était particulièrement poétique, et quand la nuit tomba, le ciel l'était encore plus, elle réfléchissait sous une lune dorée qui l’empêcher de dormir, demain serait le jour ou elle croulerait sous les pierre précieuses.

La rosée du matin approchait à grand pas, elle était déjà prête, son visage était recouvert de suif et ses vêtements étaient en lambeaux, elle descendit les escaliers lentement une expression de tristesse imprimée sur son visage, elle se rendit à son travail, avec la même gestuel, les mêmes habitudes. Elle s'éclipsa un instant, sans que quiconque  ne s'en aperçoive et elle se trouvait maintenant dans le bureau de son employeur, elle effleura de sa main gauche le pupitre et installa un double fond au deuxième tiroir en partant de la droite, et continua sa journée normalement. En second lieu, quand elle revint chez elle, elle se munit de l'un de ces couteaux, et ressortit. Elle déboula les escaliers pour la seconde fois de la journée, à l’extérieur, il faisait nuit noire et les étoiles semblaient lui indiquer la direction a prendre pour se rendre chez l'impératrice.

Elle s'était renseignée, ce soir là, l'impératrice prendrais la diligence, elle s'était nichée à l'arrière. Elle entendit quelqu'un arriver, s'était elle, elle était encore plus riche que le décrivaient les journaux, de multiples diamants pendaient à ses oreilles, de gros cailloux qui scintillaient de mille feux, les yeux de la jeune fille étaient envieux et admirateurs. Quand la calèche se mit en marche, elle sortit le couteau qu'elle avait attaché à un bout de bois de cerisier avec une corde fine, elle se contenta de balancer son bras en avant pour mettre fin aux jours de cette femme. Au bord des larmes, elle quitta la diligence, à la fois calme et précipité, son coeur battait à ton rompre. Et enfin, elle cacha le couteau dans le double fond qu'elle avait mit en place un peu plus tôt dans la journée.

Chez elle, elle ne songeait plus, elle ne mangeait plus, elle se balançaient sur sa chaise comme une feuille morte. Le lendemain, elle les avaient enfin, ses diamants tant convoités.

Imène et Divicha

La récolte des foins.



La récolte des foins
C'est dans une prairie où vivaient  une paysanne avec ses deux gamins qui avaient l'air d'être jeunes mais ils étaient à l'âge de se marier. La paysanne se nommait Angélique et ses deux gosses se nommaient Baptiste et Paul. Ils demeuraient  dans une maison en paille et en bois façonnés par eux-mêmes. Ils étaient pauvres par rapport aux autres paysans. Leurs habits étaient déchirés, reprisés, sales. Ils n'avaient même pas assez d'eau  pour nettoyer leur vêtement. Ils déjeunaient deux fois par jour au lieu de trois car il n'avaient pas assez de nourriture pour trois. Ils besognaient tous les jours pour empocher de la monnaie mais ils avaient pratiquement que des corvées à commettre à leur noble du village. Paul travaillait souvent avec sa mère. Baptiste lui était souvent abattu à cause de sa mère ainsi il allait  aider sa mère. Il était vêtu d'une chemise à manches longues qui était tachée car il n'avait pas les moyens de payer une chemise. Il avait un pantalon bleu cousu avec un deuxième pantalon marron. Il portait un chapeau en paille. Il ramassait les foins puis les entasser sur la terre. 

Un jour, la paysanne fut atteinte d'une maladie qui la fit rester au lit. Ses deux  fils étaient morts d’angoisse. Et comme ils étaient pauvres, ils n'avaient pas assez de sous pour guérir leur mère . Alors il décidèrent d'aller  voir le noble du village pour lui demander des travaux et empochaient quelques sous. Mais le noble du village ne leur proposa que des corvées à faire. Les deux fils n'avaient pas d'autre solution. Pendant quelques jours, ils cherchèrent des travaux pour avoir des sous mais leur mère mourut ainsi.

mercredi 23 novembre 2011

L' amour rend fou ... !


C'était deux hommes qui se provoquait  en duel pour une demoiselle.Le mari se nommait Jean Charles et l'amant se nommait Victor.Tout les deux vivait près de chez Jade, il ne se connaissait pas, mais pourtant ,ils se voyaient tout les jours. La jeune demoiselle était si belle qu'on la surnommait Jade comme la pierre précieuse, elle n'avait plus de parents ni frère ni sœurs c'était une bergère.Jean Charles le mari était vaillant et courageux, Cependant il faisait la cour au belle demoiselle.C'était un polygame.Victor était jeune et beau mais pas très courageux. 
Un jour, la jeune femme alla dans un bazar c'était pendant un coucher de soleil quelle rencontra Victor, alors que son mari faisait la cour aux  jeunes demoiselles près du Moulin Rouge.Jade pleura puis Victor rappliqua et l'agrippa par la main et la réconforta , puis Jade confia ses soucis à Victor qui est outré par ce qu'il ouït!Jean Charles les surveillait pour savoir tout ce qu'il se racontaient, le mari surpris par ce qu'il entend décide d' assassiner sa femme.Le lendemain, il se leva et pris un burin. Mais dans la chambre d'à coté, il ne trouva pas sa femme.Elle était parti avec Victor près du Château de Versailles pour s'éclipser secrètement.Victor pris un rouleau et le ficela sur une patte d'oiseau, dans ce rouleau, il y avait un message qui fut transmis a Jean Charles sa disait qu'il n'était qu'un charlatan et que Victor voulait affronter en duel singulier Jean Charles pour lui faire payer son affront. Le lendemain, il lui donna rendez-vous près de la Bergerie de Versailles où les paysans pouvaient voir le combat de c'est deux chevaliers.Puis Victor prononça :
- Vieux fou, je te trancherai la gorge . et Jean Charles dit :
-Pauvre inconscient, je vais t'humilier devant tous les paysans
Le combat commença .
Le mari lui donna un coup de rapière  dans la jambe droite et l'amant s'effondra , puis le mari voulais achever Victor mais l'amant lui trancha la gorge avec un poignard, comme il lui avait dit!
Après cette bataille, il fut vénéré par les paysans de la commune et subsistait heureux avec Jade!



Melric 4eC

Le Réalisme En Peinture

Qu'est-ce que le Réalisme En Peinture ?

Le Réalisme en peinture c'est quand le peintre peint une toile de la vie quotidienne au lieu d'une chose extraordinaire comme si on peignait des paysans entrain de nourrir leur moutons aulieu du roi et ses chevaliers.

Quels Peintres Sont Considérés comme réalistes ? Citez Au moins Trois peintres et un tableau pour chaque peintre.

Peintre : Courbet

Titre : La Source

Peintre: John Constable

Titre: La Charrette à Foin, The Hay Wain

Peintre : Millet

Titre : L'Angelus

Qu'a-t-on reproché aux peintres réalistes?

On les reproche de peindre comme des paysans. Ces peintures sont critiquées comme d'une prétention gigantesque. Pour les bourgeois, ces toiles sont grossières. En effet, peindre le petit peuple était une chose absurde pour les hautes classes. Mais petit à petit, les peintures réalistes remportent du succès.

Choisissez un tableau réaliste (dont les personnages sont vêtus). Pourquoi l'aimez-vous? Pourquoi est-il réaliste ? Quelle histoire pourriez-vous raconter à partir de ce tableau ?

J'ai choisis L'Angelus de Millet car j'aime beaucoup ce tableau : il est simple, inspirant il a beaucoup de contraste de couleur entre ce qui est sombre au fond et la lumière qui reflète les paysans. Il est réaliste car c'est normal q'un paysan et sa femme soient dans leur champ et récitent l'Angelus. En plus le paysage est réaliste non pas imaginaire et fantisique comme dans les dessins animés. Il y a beaucoup de précisions et de vérité. Pour moi cette oeuvre raconte un couple de paysans qui sont dans leur champ et un moment particulier dans cette journée (en ce moment ou il peint le tableau) ils décident de s'arreter et de prier L'Angelus meme si je ne sais point ce qu'est L'Angelus.


Midouata Napo

" Le roi au masque d'or ".


Ce livre m'as d'abord parut lent ( sur les débuts ) puis j'ai commencer a le lire avec plaisir vers la page 20. Ce qui ma le plus deranger sont les arrêts vocabulaire. Les moments sont plutôt tragique... Et n'apporte pas, finalement une bonne ambiance mais le livre me plait toujours pour certains éléments.

mardi 22 novembre 2011

Le pauvre paysan

Augustin s'était levé tôt ce jour-là.
C'était un homme pauvre et seul qui n'avait aucune famille.
Il vivait de ses terres qu'il cultivait, dès l'aube jusqu'au soir !
Le matin, il se réveilla tôt, après avoir dormi sur son lit de paille et il prenait le bout le pain qui lui restait.
Ensuite, il sortait de sa demeure, avec sa houe à la main et il commençait à creuser sur cette terre ingrate et pauvre en végétation.
La douleur s'exprimer par son visage amaigri et sales, il poussait des cris à chaque coup de houe sur le sol, ses yeux étaient cernés et mélancoliques, il était assoiffé et pourtant il gardait sa peine au plus profond de son coeur.
De temps en temps, il s'appuyait sur sa houe tant la chaleur était grande !
Le soleil envahissait le paysage, le ciel était d'un bleu uni et clair.
Depuis quelque temps, il devait creuser un passage pour laisser l'eau passer, ce trou devait parcourir plusieurs kilomètres pour atteindre le lac.
Jusqu'au soir, il creusait, semait ...


Mais un jour, une jeune femme apparut au loin dans la colline rocheuse, elle était brune, maigre et belle.
Elle s'approcha d'Augustin et elle lui dit si il pouvait lui donner du travail car elle s'était enfuit de chez elle, elle se prénommée Marie.
Elle lui expliqua tout en détails et l'homme au grand coeur accepta de l'épargner.
Le lendemain matin, ils étaient deux à travailler sur le passage pour l'eau et le projet avançait à grands pas et une semaine plus tard, le passage était finit.
Depuis quelques temps, ils oubliaient les moments durs et rigolé bien.
Ils tombèrent amoureux mais quelques années après leur mariage Marie tomba malade et mourut.












                                                                                 Abou el faraj Rime 4ec



Souvenir de Mortefontaine

Tout les matins, elles allaient rendre visite à leur grand-mère mourante pour lui offrir des pommes. Elles les cueillaient dans son arbre favori. Cet arbre était très vieux avec un tronc marron foncé doter de feuilles de couleur verte. Quand elles étaient petites, leur grand-mère les y emmenaient tout le temps. Cette dernière, leur avaient raconté la première fois qu'elle avait vu cet arbre. Selon elle, c'était un moment magique. Ce jour là, elle avait 15 ans. C'était une très jolie personne dont les cheveux étaient roux flamboyants aux yeux ambré. Elle se promenait dans un lac de Mortefontaine pendant des heures car, elle adorait regarder les arbres. Puis, elle vit cet arbre. Elle s'approcha de celui-ci et prit une pomme qu'elle dégusta lentement. Depuis ce jour, elle prit que des pommes de ce magnifique arbre. Mais, en devenant plus vieille, c'était sa fille ou ces petites filles qui lui rapportaient ces pommes. Les filles raffolaient de cette histoire. Un jour, en arrivant chez leur grand-mère, elles vinrent son corps mort. Elle était vêtue d'une robe de nuit blanche. Son visage était froid et très pâle. L'une des trois courut vers la grand-mère et poussait de grands sanglot. Les deux autres sanglotaient aussi. Leur larmes tombaient sur une lettre qui était au sol. Elle était probablement de grand-mère. L'une des deux la prit et la lu. Dans cette lettre, leur grand-mère voulait nommé l'arbre Souvenir de Mortefontaine en souvenir de sa sortie au lac de Mortefontaine où elle aperçu pour la première fois l'arbre. Quand elles avaient fini de lire la la lettre, elles sanglotaient encore plus. L'une alla chez elle pour prévenir sa mère de la mort de leur grand-mère. Les deux dernières restaient la, assis par terre, morte de chagrin. Quinze minutes plus tard, leurs parents arriva. La mère commençait à pleurer de tristesse avec leurs filles. Alors que le père appela des voisins pour mettre le corps dans une tombe.

L'angélus

Un beau jour, un enfant naquit de l'union de deux paysans qui étaient très pauvres. Il ne vivaient que des récoltes qu'ils faisaient aux champs chaque jour. Le temps passait très vite et l'enfant grandit avec beaucoup d'affection et d'amour avec ses parents, malgré leur pauvreté et leurs conditions de vie accablantes. Un jour, son père tomba inexplicablement malade, et n'ayant pas d'argent pour le faire soigner, la mère et son fils allèrent en ville demander de l'aide. Un médecin renommé accepta de leur venir en main forte. Mais ce dernier était si égocentrique qu'il leur demanda de leur donner en échange d'un antibiotique, un colossal panier garni de légumes. Dans l'intérêt de leur bien aimé, ils se dirent qu'il était nécessaire de faire ce que le médecin exigeait. Ils travaillèrent dur chaque jour pour assurer la santé de ce dernier. Au milieu d'une
longue et épuisable journée de récoltes acharnées, les deux paysans s'arrêtent, jetèrent leur haches et se mirent à prier sous le retentissement de la cloche d'une église qui ne se trouvait pas loin des champs où ils travaillaient. Cette prière semblait longue, mais les paysans y mettaient tout leur coeur. Ils regardaient leurs mains et la récitaient à voix haute. Ils avaient des visages qui semblaient tristes et mourants de désespoir. Quelques semaines plus tard, les paysans étaient arriver à bout, ils avaient enfin terminé leurs récoltes, et allèrent joyeusement et immédiatement rapporter ce grand panier garni au médecin. Le médecin leur avait promis qu'ils les aideraient et il tenus parole. Ils rentrèrent chez eux, à la fois fatigués et heureux et attendirent que le père soit guéri. Après de longues semaines de patiences interminables, le père était enfin de retour chez eux. Quel soulagement pour la mère et le fils ! Ils étaient tellement contents de se retrouver. Les deux paysans qui avaient travaillés si dur se dirent que nul n'est plus beau au monde que la présence de ceux qu'ils aimaient. Cependant ils avaient de la rancoeur auprès du médecin.
Et bien, la petite famille continua sa vie, continuèrent leur récoltes avec beaucoup de joie et profitèrent du temps qu'ils avaient à passer ensemble.


Inspiré de ce tableau nommé l'Angélus de Jean-François Millet, peint en 1858


Dyhia Mezahem, 4eC

Le jeune paysan et son mouton



Le jeune paysan et son mouton

C'est l'histoire d'une pauvre paysanne et de son mari. Ils vécurent dans une petite ferme pas très loin d'un marécage. Ils avaient un enfant, un garçon au cheveux blond, au yeux bleu. Ils avaient aussi un mouton, ils le considéraient comme leur fils. Quelque ans plus tard le fils grandit, il était devenu brave courageux bien formé . Grâce a ce dernier ses parents ont put se reposer quelque temps. Un jour il entendit les grands hommes du village parler du maire de la ville . Il prêta l'oreille :
-On raconte que le maire de la ville donnera une très importante somme d'argent a celui qui gagnera le festival de cette année. Es-ce vrai ?
-Oui, cela est bien fort vrai car comme il a beaucoup trop d'argent alors pour une fois il est charitable.
Le jeune homme tout heureux à cette nouvelle courut chez lui pour ébruiter cette nouvelle à son père, sa mère, et bien sur à leur mouton. Alors il décida de participer à ce concours . Bien sur, sa mère était toute inquiète car les hommes qui participaient à ce concours étaient combatifs. Le jeune homme têtu dit qu'il participera on compagnie de leur mouton. Le lendemain matin il commença à s'entrainer. Au festival il réussit à gagner toutes ses épreuves. Mais il restait une dernier épreuve car un autre paysan gagna toute les épreuves. Cette épreuve était en trois manches, les deux prétendants réussirent à battre leur adversaire sur une épreuve chacun. Au début de la dernière épreuve on vit tout de suite que le jeune homme était en difficulté, car l'homme était énormément plus vigoureux. Donc le mouton décida de se sacrifier en le mordant sur la jambe celui qui l'a déstabilisé. Cela a permis au jeune homme de gagner la dernière épreuve. Mais le mouton mourut sur le coup car le grand homme lui  donna un grand coup qui l'expulsa brutalement. Le jeune homme était très heureux d'avoir gagné le festival, mais son très cher mouton fut décédé. Le lendemain il ramena sa richesse chez lui mais amena le mouton mort. Ils l'enterrèrent dans leur champ et restèrent dans devant la tombe quelques minutes en faisant une prière.

  Midouata Napo

C'était une nuit froide de novembre. Il y avait eu une bataille sanglante entre Jacques et Robert. Je vais vous raconter cette histoire. Au début Jacques et Robert étaient de bons amis, ils s'amusaient, il burent énormément de vin chaque vendredi soir dans un bar à saint-denis en france. Un jour, ils trainèrent devant la rue eiffel à 1h00, ils marchèrent pacifiquement avec un air béat, quand soudain ils entendirent un cri . Ils coururent aller voir celle qui avait gémie. C'était une femme charmante, avec ses délicat cheveux bouclés en or, ses yeux outremer,sa face joliment soigné. Jacques avec un courage incroyable, alla sauvé la demoiselle en détresse. Il mit un coup de poing a l'homme,qui est tombé en un instant. La femme bénit Jacque qui avait fait preuve d'un grand courage. Mais l'homme se leva et voulurent fraper Jacques, mais Robert était là et a réussi à assaumer l'homme avec un coup de poing. La femme remercia aussi Robert pour son courage. Il demandèrent à la femme qui lui faisait beaucoup d'effet. La femme ne voulait pas se réfuter. Les deux jeunes hommes insisterent fortemment, puis la belle demoiselle craqua et disa qu'elle préférait les deux. Jacques et Robert n'était pas de ces avis, donc ils ont décidé que demain a 6h00 il se battront. Et celui qui gagne, aura le coeur de la demoiselle. Le lendemain, Jacques dis a tous ces amis qu'il allait se battre, Robert faisait de même. Il était 6h00 et des poussieres, Jacques et Robert étaient au milieux de la foulles. Il était déterminé à ce battre, Jacques mis une patate à Robert qui a eu mal puis le frappa dans la partie intimes, Robert eu mal mais fou de rage il enchaina Jacque de coup de poing partout dans son élement. Ils continuèrent à ce battre,ces amis Pascal et Charle les deux amis de Jacque et Robert séparènt. La femme demoiselle qui était venu voir au combat, et partie. Robert et Jacques étaient gravement bléssé et s'évanouirent.On les conduisit à l'hopital. Malheureuseument, tous les deux moururent.Et depuis ce jour, tous le monde disait que ces hommes étaient fou, car il se sont enrtretuer pour une femme.


1. corrige les erreurs
2. Mets les majuscules aux noms propres
3. Ecris la suite, le duel à l'épée, après un bal masqué.

La Charité



Le jour se leva, dans une forêt dense, au milieu de celle-ci il y avait une chaumière où vivaient une jeune fille et sa mère. La fille avait des cheveux bouclés de couleur marron , des yeux d'un noir très foncé,  en amandes et une petite bouche . Elle portait une robe bleue et un fichu jaune sur la tête. La mère avait des cheveux noirs qui avaient tendance à devenir blancs, des yeux gris métallique. Elle paraissait jeune avec son corsage jaune comme le soleil qui brillait, avec son fichu de la même couleur que celui de sa fille. Tous les jours, il y avaient un indigent à côté de cette construction. La mère avait l'habitude de le voir roder autour de sa maison, elle le voyait quand elle mitonnait. Un jour sa fille lui demanda : "Pourquoi il y a un homme à côté de notre logis ?"
 La mère répliqua : "Cet individu est un chemineau."
 Sa fille répondit :"On peut peut-être l'aider ?"
 La vieille riposta : "Je ne sais pas.
 La demoiselle eut alors une idée et dit : "Pourquoi on ne lui donnerait pas un petit morceau de pain à chaque matin? Pour qu'il regagne son sourire" 
La vieille accepta sans hésitation. Depuis ce jour, la fillette alla  fournir un petit morceau de pain au chemineau.

Mais un jour, le chemineau avait disparu. Disparu, la fille se raisonna pour trouver pourquoi l'homme qui rodait à côté de sa maison avait fuit. Elle resta sur la question pendant 1 bonne heure, mais elle ne trouva rien. Alors elle alla rejoindre sa mère dans la cuisine et lui demanda : 
"Dis mère, où est passé le chemineau à côté de notre demeure ?"
Sa mère lui répondit à son tour : "Je ne sais pas. Peut-être qu'il a rendu son âme."
La fillette en entendant ça, alla se réfugier dans sa chambre, attrister par la nouvelle. A cause de l'information dont sa mère lui a fait part, la jeune fille n'avait plus goût à la vie et se disait que c'était à cause d'elle que l'homme avait rendu son âme. Des jours, des mois et des années passèrent, sans apercevoir l'homme dont elle et sa mère avaient aidées. La jeune fille avait aujourd'hui 18 ans et sa mère 50. Comme aujourd'hui il faisait très beau l'adolescente alla faire un tour dans la forêt. Quand elle fit de retour, elle remarqua deux personnes âgées dans la maisonnette, elle entra et sa mère lui présenta un homme habillé d'une chemise verte uni avec un pantalon de couleur brun, il portait un béret sur sa tête. Sa mère lui dit que cet homme était en fait le chemineau qui rodait autour de le maison, et c'était bien lui qui recevait tous les matins un morceau de pain de la part de la jouvencelle. Quand elle entendit cette révélation elle n'en croyais pas ses oreilles.
L'ancien chemineau lui dit : "Je suis venu ici pour te remercier. Merci pour tous ce que tu as fait pour moi, ma fille. Grâce à toi j'ai regagner mon sourire et j'ai une vie bien meilleur."
L'adolescente répliqua : "De rien monsieur."
C'était le plus beau cadeau d'anniversaire qu'elle a put recevoir une personne qu'elle voulait revoir il y a des années. Depuis ce jour la jouvencelle a reprit goût à la vie en se rappelant de cette journée inoubliable de ses 18 ans.
                                FIN          Divicha Ramdohin 4C

                                                                              

                                                                               

Le portrait de Sonia 4eC

C'était une dame qui avait environ une trentaine d' année . Elle  portait un chapeau  doré et marron . Elle avait des yeux marron clair, un léger nez busqué,  une  fine et petite bouche rouge . Au tour de son cou, elle avait une très longue écharpe  avec des poils noirs qui lui arrivait jusqu'aux jambes . Elle portait une longue  robe blanc cassé  simple avec des motifs fleuris sur  les manches et sur la taille formant également sa  ceinture .  Sur son annulaire  droit , elle portait une bague  avec un diamant bleu et jaune .

Elle eut une bien étrange aventure...
Elle rencontra un jeune homme d'une trentaine d'année comme elle dans un salon littéraire, elle était en train de lire un journal quand le jeune homme lui dit " puis-je m'asseoir ici " et elle lui dit "oui vous pouvez " . Il la complimenta sur ses yeux et sa robe . Depuis ce jour, ils ne se quittèrent plus . Ils devinrent amoureux l'un de l'autre . Et ils eurent deux enfants . 


Son amie Berthe était plus singulière encore car elle aimait vivre seul, être à l' écart des autres personnes . Seul Sonia la comprenait car depuis le décès de son mari, elle vivait dans la douleur, la mélancolie et la peur . Elle avait le sentiment d’être seule au monde . Pour essayer de la réconforter, Sonia  lui proposa de se trouver un compagnon drôle, souriant et  aimant. Et peut-être qui la chérirait jusqu'à la fin des ses jours.
 Sonia souhaiterait que son amie rencontre le bonheur comme elle. 


  Laura-Karen 

L'Angélus

La nuit tombait, deux jeunes paysans, un homme et sa femme, rentraient de leur travail après une journée harassante. Ils habitaient tous les deux dans une petite maison abandonnée il y a des années. La jeune femme se sentait épuisée, elle pouvait à peine se lever et marcher. Son mari prépara à manger avec tout ce qu'ils avaient pu trouver après leur récolte dans un champ situé à plusieurs kilomètres de leur demeure. Après leur repas, ils allèrent se coucher en espérant que demain sera un jour meilleur.

Dès l'aube, ils devaient se rendre au champ en allant marcher pendant dès heures et dès heures. Ils continuèrent à récolter tous ce qu'ils pouvait trouver. La jeune femme était désespérée, son mari tenta de la consoler mais rien n'y fait. Elle posa ces outils et pria, son mari fit de même.

Le lendemain, le mari entendit un bruit étrange, il se leva et alla voir se que c'était, c'était quelqu'un qui frappait à la porte. Il ouvrit la porte, il ne vit personne, il regarda au sol et aperçus une boîte qui avait l'air suspect. Le jeune homme alla vers sa femme pour la prévenir. Elle se dirigea à son tour vers la porte avec son mari. Elle prit la boîte, ferma la porte et la posa sur la table. Tous deux étaient inquiet à l'idée de voir ce qu'il y avait dans cette boîte. Le paysan décida donc d'ouvrir la boîte. La paysanne et le paysan étaient abasourdis, ils ne savaient plus quoi dire. Cette boîte contenait une grosse somme d'argent. Ils se demandèrent qui avait pu leur envoyer une telle somme. La jeune femme aurait voulu rendre cette argent mais son mari ne voulait pas. Alors, son mari lui proposa d'aller en ville pour pouvoir s'acheter un logement et vivre une vie plus meilleur.

Angèle

Duel apres un bal masqué


C'était un soir glacial, dans la cours d'un grand chalet, deux hommes qui se ressemblaient fortement burent a flot pendant un bal masquée.le thème du bal étais l’escrime . L'un avait pour nom Sébastien , l'autre Jean François .Une belle dame qui s’appelait Joséphine, l'épouse de Sébastien XXX il manque quelque chose . Sébastien était ingrat , laid , obèse . Il martyrisait sa femme régulièrement pour des choses navrantes , par exemple quand sa femme a oubliée de faire le dîner ou elle n'a pas fait la vaisselle . Jean François vivais un homme distingué , poli , honnête et beau . Joséphine un jour en eut assez de se faire battre pas son époux . Elle dit a son époux : Homme J'en ai à ras bord des coups que tu me donne Je vais me marier avec Jean François , son mari fou de colère prit sa rapière puis courut au quelle Jean François se loge . Il frappa a la porte puis lui dit : Je te provoque en duèle , Jean François pris son épée puis ils sortirent . Ce fut un combat sanglant plein de haine et d’espoirs

L'homme le plus désespéré tomba avant l'homme plein d’espoirs . Joséphine avais plein de haine et des colère envers Sébastien mais quand elle le vus a terre elle s’écroula en larme en embrassant sa main . Jean François essaya de la consolé et de la convaincre de se mettre a ses cotée mais rien n'y fait elle sera blazer a vie .

Trois jours après la mort de Sébastien, Joséphine mourut de chagrin, elle s'en alla au pays des morts rejoindre son mari qu'elle aimats a en mourir .

Mohamed Benmansour


1. Corrige les erreurs d'accord

2. Attention aux majuscules et aux points. Place les bien

3. Invente une autre fin qui soit réaliste.

l'Angélus

L'Angélus


Autrefois, deux paysans vivaient dans une maison délabrée. Ils allèrent tous les jours au champ pour y récolter de la nourriture. Une fois céline et alphonse fin de récolte ils avaient récoltaient des malheureux légumes abîmés. Tous les soirs avant qu'ils ne s'endorment ils allèrent une dernière fois au champ pour prier. Céline était gravement malade et elle ne craint qu'elle  pu continuer la récolte, Alphonse s'inquiéta beaucoup pour elle il ne craint qu'elle ne meure... Mais elle tenu le coup une journée entière elle récolta le plus longtemps possible qu'elle ne pu mais en pleine récolte un beau matin elle mourut. Ils étaient tellement pauvres qu'ils n'avaient aucun moyen pour prévenir quelqu'un. Alphonse fut seul, il décida d'enterrer Céline. Malheureusement, Alphonse était amoureux de Céline mais le jour de son décès il ne pu lui dire. Alors Alphonse était très triste. Plus les jours passèrent plus il était triste. Il était vêtu de ce pantalon bleu marine déchirer, de cette veste marron, de la même chemise blanche, des mêmes chaussure jaune. Mais ses cheveux brun et bouclés blanchissait. Alphonse récolta tous les jours mais chaque jours il ne récolté seulement de malheureux légumes moisis et abîmés. Plus les jours passés plus il vieillissait. Puis un jour il tomba gravement malade comme sa bien aimée. Lorsque le jour se leva le paysan n'eu point la force de ce levé. Il frissonnai, il était raide et inquiet de mourir. Il passa c'est dernier instant à penser à Céline, alors sur un morceau de feuille déchiré il écrivit un mot au cas ou quelqu'un le trouverai mort sur son lit.  Il écriva: Si un jour vous me trouvez raide mort sur mon lit c'est que j'étais très malade et je commencer a vieillir pour tous vous dire j'était pauvre et  je travaillé au champ tout les jours mais les récoltes était très mauvaise j'étais tomber amoureux d'une paysanne nommer Céline elle était aussi malade et très gentille. Nous n'avons eu aucun moyen de prévenir quelqu'un. Mon nom est Alphonse.


Shirley   SPICHER 4°C

1. Corrige les erreurs.
2. Raconte avec plus de précision la mort du paysan

lundi 21 novembre 2011

Le réalisme en peinture

 
1- Le Réalisme c'est peindre des scènes familières (des gens du peuple, du travail aux champs , de la vie paysanne. Le Réalisme, c'est aussi montrer des choses dégoûtantes.


2- Quelques peintres et oeuvres réalistes :
Gustave Courbet : L'origine du monde
Jean Batiste Corot : La dame en bleu
Jean François Millet : Des glaneuses .

jeudi 10 novembre 2011

Boule de Suif. Fiche de lecture.


Pourquoi n'avez-vous pas aimé ce conte ?

Je n'ai pas aimé car les personnages sont hypocrites. Ils utilisent Boule de suif pour leur propre intérêt. Puis, quand ils réussissent à avoir ce qu'il veulent, ils la méprisent pour ce qu'elle a fait. En plus de cela ils la détestent. Au début, comme elle avait des provisions, ils sont devenus sympathiques avec. Alors elle partage ses provisions. Les officiers prussiens ne les laissent pas partir tant que Boule de suif n'aura pas accepté leur avance. Ensuite, ils la méprisent. Mais j'aime bien que Maupassant différencie les bon des mauvais dès le debut du conte. Sinon j'aime ce conte. Il n'est pas si mauvais que cela.

Midouata Napo