samedi 26 novembre 2011

Adela la paysanne.


Un beau matin matin d'été, Adela réveilla comme à son habitude Adolphe, son père et Adrian, son oncle. C'étaient des paysans espagnols qui cultivaient une terre picarde. Elle avait a perdu sa mère quand elle avait six ans, aujourd'hui elle en a seize. Elle était brave et aidait énormément ses proches, son visage était fin et bronzé, ses cheveux ondulés et châtains, ses yeux était bridés et globuleux et ses lèvres étaient fines. Du matin jusqu'au soir, elle récoltait le foin posé sur le sol et les deux hommes faisaient de même. Quelques heures plus tard, ils s'arrêtèrent pour prendre un bout de fromage accompagné de pain et de lait. Peu après, ils recommencèrent le travail et cela était le rythme de toute la journée. Le soir même quand le travail fut terminé, Adela sortit faire un tour près de la rivière pour réfléchir, se poser des questions, trouver les réponses et penser à sa mère.

Mais tout ne se passa comme elle avait prévu, un homme était assis à sa place habituelle. Elle s'approcha, s'assit à coté de lui et il retourna sa tête sans aucun mot. Elle le regarda longuement pour ensuite lui demander comment il se prénommer, son prénom était Jean. Peu après, ils discutèrent sans voir le temps passer, mais ce moment restera mémorable à Adela qui avait les yeux pétillants.

L'autre soir, ils se sont revus et tous les autres soirs étaient pareils. Adela devait partir sur le bord de la rivière pour parler à la nature de tous ses problèmes, se retrouvait à rigoler avec Jean.

Mais le quatrième soir, Jean ne vint pas. Adela revint chez elle et pleura jusqu'au matin.

Le soir même Jean ne vint pas encore une fois et à ce moment là Adela pensa qu'elle avait perdu le deuxième être qui comptait beaucoup pour elle.

Depuis, Adela ne tomba plus amoureuse et ne sortit plus la nuit.

Abou El Faraj Rime

Lucie et l'atelier du peintre

 Gustave Courbet, l'Atelier du peintre

Cette histoire se passe en 1867. Lucie comme à son habitude parcourait les rues en quête d'argent ou de nourriture. Elle s'asseyait devant l'épicerie du Pedro et tendait sa main pour quelques francs. Cette jeune femme était malgré tout très ravissante, elle avait des lèvres ourlées et gourmandes, le menton en galoche, les oreilles pincées, le nez busqué, les yeux bridés et étincelants, le front lisse et bombé et de cheveux châtains et lisses.

Un beau jour, un homme l'aperçut et la beauté de cette femme a charmé celui-ci qui était vêtu d'un vêtement en soie, accompagné de canons sur les manches. C'était un peintre nommé Courbevoie, il était connu pour avoir dessiné plusieurs portraits de jeunes femmes élégantes et de magnifiques paysages. Il s'assit à coté de Lucie, qui était naïve et ne comprenait pas grand chose.

Le peintre voulait que Lucie vienne dans son atelier pour qu'elle puisse poser pour un de ses prochains tableaux, elle accepta de suite. Elle devra jouer le rôle d'une jeune femme perdue et désespérée au milieu d'une forêt dense. De plus, la somme qu'elle allait recevoir était très alléchante: 250 francs !

Ils ont parcouru la rue Montgallet et une heure plus tard, ils arrivèrent à l'atelier du peintre. A la première vue, Lucie remarqua qu'il y avait deux parties différentes. La première partie était constituer de pauvres gens et la deuxième partie était constituer de gens riches, de grands philosophe ...Le peintre arriva et ordonna à Lucie de se déshabiller pour qu'il puisse commençait son chef-d'oeuvre, elle respecta sa décision sans rouspéter. 

Quelques minutes après, elle était prête, le peintre commença à peindre et cela dura une semaine. Quand le peintre avait terminé sa peinture, Lucie était assez riche pour s'acheter une petite demeure grâce au 1750 francs qu'elle a obtenu pendant ses sept jours de pose.

Depuis ce jour, elle ne posa que pour de grands peintres.

Abou El Faraj Rime. 

L'angélus.


Le crépuscule se levait. Des couleurs, du rosé jusqu'au bleu, parsemaient le ciel.

Dans la cuisine, le petit déjeuner était dressé, bouillie d'épis de blé, et croûton de pain.

De délicates odeurs s'élevaient de la vielle chaumière. Réveillés, les vagabonds et les plus pauvres accouraient vers cette bicoque. La vieille paysanne servit à chacun une portion de ce qu'elle possédait. En ce moment, les récoltes étaient maigres et elle ne pouvait payer son jeune commis. Pourtant il ne lui en voulait pas, il l'aidait gratuitement. A son tour il se leva, il était en retard pour l'aumône du matin. 

Quand les malheureux retournèrent à leur besogne, la vieille femme poussa la porte de la masure, ses yeux, plein de gentillesse scrutaient son jeune ami, un sourire se dessina rapidement sur ses lèvre pour s’effacer un instant après. Par la fenêtre, le ciel avait pris une teinte orangeâtre, le commis fit un geste sec de la main, la vielle dame s'approcha et hocha la tête, ils sortirent se promener. Ils étaient heureux. Le commis, jeune orphelin avait trouvé une mère. Le soir, près de l'âtre, les flammes semblaient crépiter au rythme de leur discussion, les yeux vert foncé, de la couleur des forêts, de la vielle femme semblaient s'être mués en deux yeux flamboyants. Quand le jeune orphelin s'en alla, seule, la bonne femme contempla les étoiles apparaître comme une traînée de poudre dans le ciel bleu, et s'endormit.

Dès l'aube, la vielle était aux champs avec son commis, ils labouraient, semaient, lorsqu'un son perçant, strident, retentit à travers les terres, la vielle émue, délaissa un instant ses outils et commença a dire l'angélus, son employé fit de même, arrêta sa besogne pour prier, lui aussi.

Une lumière éblouissante tapait à ce moment là, leurs visages rayonnaient, leurs regards pétillants se croisèrent. Ils sourirent.

Imène.

A quoi rêvent les pauvres filles (suite).

 

Une semaine plus tard, elle s'acheta une paire de cisailles. Elle coupa un bout de tissu d'un des habits que son grand-père lui avait offert pour ses dix-sept ans. Le soir même, elle est vêtue d'une manière provocante, qui ne laissait pas paraître la jeune fille qu'elle était. Elle se hâta de descendre les escaliers et de sortir. Elle traversa le boulevard Saint-Michel et se rendit dans un bar très fréquenté. Elle fut épouvantée par le regard que les hommes posaient sur elle. Un homme s'approcha et lui offrit un verre. Quelques temps après, ils furent saouls et partirent à l'hôtel du coin. Le lendemain matin, elle ne sentit embarrassée, mais l'argent était bien là.

Quelques heures plus tard, elle avait son bracelet en diamants.

Rime et Dyhia.

vendredi 25 novembre 2011

Le panier d'osier.


C'était une nuit d'hiver, une nuit calme, où tombaient des flocons de neige blancs, le silence, divin, régnait. Dans cette nuit parfaite, on tambourina à la porte, d'un air las. La jeune fille s'empressa d'ouvrir la porte, écarquilla les yeux, là, un panier tressé en osier, à l'intèrieure, un enfant. Elle prit délicatement le panier, retira l'édredon dans lequel il était enveloppé, un tissu blanc, brodé d'une hirondelle d'un bleu de Prusse, elle effleura le textile, son souffle était court. D'où pouvait bien provenir cet enfant ? Elle n'avait jamais touché de sa vie une matière aussi douce et riche que celle-ci, elle entra dans son logis, sur ses gardes.

Elle se rendit dans la cuisine ou sa mère prenait le souper. La jeune fille déposa le panier sur la table sans dire un mot. La mère continuait de tremper des morceaux de pain dans la soupe, et quelques instants plus tard, leva ses petits yeux noisettes pour inspecter le contenu du panier. Dans un silence de morts elle empoigna le panier et se dirigea dans ce qui lui servait de buanderie. Elle avait un visage impassible et ne cogita pas très longtemps : elle savait ce qu'elle allait faire de lui. La fille questionna sa mère, et approuva sa décision. Elles allaient garder le nourrisson abandonné. Elles ne se posaient pas de question sur la classe sociale de cette enfant, elles étaient bien trop occupées à le regarder d'un air attendri.

Imène

Les Bulles de savon

 
Un jeune garçon nommé Jean s'ennuyait lors de ses vacances scolaires. Il était âgé d'une dizaine d'années et passait son temps à faire des expériences. Il était passionné de science. A l'époque où il vécut, la science était considérée comme une matière où tout le monde pouvait réussir, alors il tenta. Il aimait aller à l'école et il était attristé à l'idée de savoir qu'il passera deux mois sans aller en cours, surtout de sciences. Pour revenir avec un excellent savoir, il se dit qu'il qu'il ferait des expériences. Il prit un bol, le remplit d'eau et pris un savon dont il se savonna les mains. Il mit ses mains dans le bol et voilà que l'eau était devenue savonneuse. « Je vais prendre une paille », se dit-il et aspira l'eau sans l'avaler. Puis il retira la paille du bol et souffla. Tout à coup il vit une bulle sortir de la paille, il était émerveillé. Il était si heureux de sa découverte qu'il décida de recommencer plusieurs fois. Après avoir épuisé toute l'eau, ses joues étaient toutes rouges et gonflées. Il était tellement fatigué qu'il alla se reposer sur son lit, et il se leva soudain avec l'idée d'aller montrer sa découverte à ses camarades de classe. Il refit la préparation de l'eau savonneuse, et descendit les escaliers à toute allure. Il arriva en bas de son immeuble, sur la rue principale et traversa la rue. A plusieurs reprises, le bol allait tomber mais le garçon le tenait comme s'il s'agissait d'une statue en or. Il arriva enfin devant la maison de son ami, et il sonna à sa porte. La porte s'ouvrit, et il vit une tonne de monde. Son ami avait organisé une fête. La mère de ce dernier était à la porte et appela son fils. Il le fit entrer chez lui au milieu de tout ces personnes qui le regardaient avec des grands yeux. Il installa son matériel sur la petite table, et présenta son expérience. Les grandes personnes se dirent qu'il voulait juste les impressionner. Il commença et enchaina les démonstrations. Jusqu'au moment où un grand homme, vêtu d'un costume bleu marine, hurla « Permettez mon jeune homme de me présenter. Je suis M. Malrin et je suis directeur d'un centre de science à Paris. J'ai admiré votre découverte et je vous invite à venir me rejoindre dans mon centre, si bien sur tu le souhaites. ». Le jeune garçon n'en croyait pas ses oreilles et accepta après avoir demander à ses parents leurs avis. Quelques semaines plus tard, une valise pleine était posée sur le seuil de la porte et on entendait la mère de Jean pleurer de joie. Elle se dit que c'était le seul moyen pour que son enfant puisque vivre sa passion. Il le fit quelques baisers et partit comme un homme sur de lui et il n’arrêta pas de se dire que tout le monde l'admirera...
- Jean, jean réveille toi ! Tu ne vas quand même pas arriver en retard le dernier jour de cours !, lui dit sa mère
- Mmmmh, j'ai encore rêver ! dit Jean.
Bien sur Jean rêvait de ses vacances pendant la nuit. Nous pouvons tous dire qu'il a fait un très grand rêve !


Dyhia Mezahem.

A quoi rêvent les pauvres filles (suite du texte de Zola).



«  Demain elle en aura … »

Comme elle se prostitua abondamment elle empocha énormément de sous. Grâce à cela elle put aller dans les grandes villes où vivaient des hommes riches . Elle attira amplement de célèbres gens comme Mr de Metternich. Tandis qu’elle acquit aux alentours de 10 000 sous par jour elle put aller au bal des Tuileries. Au bal elle se fit connaître en moins de quelques heures. Les dames se méfièrent d’elle et gardèrent un œil sur leurs époux.

Soudain, son regard croisa celui du prince de Metternich. Elle le trouvait charmant avec ses yeux verts, des cheveux bruns bouclés, son visage était d'un teint bronzé avec quelques tâches de rousseurs. Il portait une cape verte comme sa couleur des yeux, une chemise blanche à manches longues avec des bretelles, un pantalon bouffant de couleur vert kaki. Il la regarda d'un air souriant mais frustré. On dirait qu'il fut charmé par sa beauté. Il alla la voir mais sa mère, Madame de Metternich arriva pour aller savourer le goûter. Le prince était contrarié de ne pas aller la voir.                         

Il patienta tellement qu'il en devint fou amoureux. C’est comme cela qu’elle eut ses diamants et qu’elle devenue la femme la plus riche et connue.

Silviya et Midouata.